•  

    Couverture Contes d'une grand-mère japonaise

     

    Titre:Conte d'une grand-mère Japonaise

    Auteur: Yveline Féray

    Édition: Philippe Picquier

    prix: 13,50 €

     

     

     L'histoire: Une grand-mère japonaise est partie à la recherche de contes, certains rares et peu connus, avec l'espoir de voir briller l'étincelle sans laquelle il n'est peint d'histoire. Et puisqu'il faut bien un commencement, ce sont d'abord les mythes fondateurs d'une nature peuplée de divinités, où la déesse du Soleil tient la première place, comme il se doit au Pays du Soleil levant. Suivent ensuite, autres pépites sur le chemin de la conteuse, une Cendrillon japonaise du Xe siècle et des récits mettant en scène samouraïs, moines bouddhistes, jeunes dames brodant de poèmes leur solitude, spectres et fantômes.
    Enfin, pour terminer,un miroir nous propose un proverbe à méditer : Le miroir est l'âme de la femme comme le sabre est l'âme du guerrier.

     

    Mon avis:Le japon, pays du soleil levant, pays de mon cœur. Qu'y a-t-il de mieux pour connaître une culture que de lire les contes qu'elle* écrit? Ainsi tombant par hasard sur cet ouvrage, je m'en emparais pour en savourer le contenu. Ce recueil rassemble divers contes traditionnels japonais. Il est donc difficile de faire une critique pour chacune des histoires que le livre contient. Je parlerai donc de ceux qui m'ont le plus marquée.

     

    Le livre s'ouvre sur l'origine du monde d'après le taoïsme:Kami Yo, l'âge des Kami. Un kami n'est pas un dieu, il est «un être placé plus haut et vénéré», mais il n'est en aucun cas considéré par les japonais comme un Dieu. Un peu comme pour le peuple Azandé ai-je pensé en lisant cela. Ces kamis sont donc à l'origine de notre monde, ils l'ont crée et organisé. Je fus surprise de voir à quel point ce récit est proche du mythe de Gaïa. Je ne peux m'empêcher de me demander si il n'y a pas eu une quelconque influence grecque dans ce conte. De surplus,après nous avoir expliqué comment le monde fut créé, on nous raconte la vie des Kami et on apprend l'existence du Yomi, qui représente les enfers. Un des Kami va y descendre afin de récupérer une Kami. Ça ne vous rappelle pas une certaine histoire? Le mythe d'Orphée ou encore Perséphone (car la Kami ne peut quitter ce monde, car elle a goûté à la nourriture souterraine)... Je suis persuadée que les passionnés de la Grèce antique adoreront comparer ce mythe avec ceux qu'ils aiment déjà tant.

     

    Le second conte hachi no ki, les arbres en pot, était magnifique, c'est l'histoire d'un couple pauvre qui, par une terrible tempête de neige, recueil un moine. Je n'en dis plus, mais la beauté de ce dernier vous transportera, par sa sagesse et son histoire.

     

    Le dernier dont je voudrais vous parler et celui de ochibuko no kimi, la dame d'en bas. Bien que l'histoire possède un schéma classique( une jeune fille délaissée par sa famille qui rencontre un beau jeune homme riche), il m'a permis d'en apprendre plus sur le rite du mariage chez les japonais: Les prétendants s'échangent des poèmes, puis durant une période particulière se passe des visites nocturnes ou les amants apprennent à se connaître. A la fin de chaque nuit, ils doivent s’échanger des poèmes spécifiques afin que la famille sache ce qu'il s'est passé. C'est la Kita no Kata. Puis dans la période qui suit, les futur maris doivent rencontrer la famille et recevoir l'accord du père durant le mukotori. Et enfin le mariage est célébré durant le tokoroawashi. Rien que pour ça, je ne regrette pas d'avoir lu ce livre! Je trouve cela passionnant et ça me rappelle les visites nocturnes des Na de chine ou encore, le besoin d'un accord du père que l'on retrouve dans beaucoup de sociétés y compris la nôtre. Bien sûr, le mariage chez les japonais a évolué et ne se présente plus comme ça. Mais j'étais contente de découvrir cette facette du Japon. Par contre, un aspect m'a dérangé sur ce conte en particulier:

     

    [Spoil] Lorsqu'elle rencontre le beau jeune homme durant les visites nocturnes sans l'avoir rencontré auparavant, elle se fait littéralement violer! Deux nuits plus tard, elle l'aime... c'est pas le syndrome de Stockholm ça? [Spoil]

     

    J'en ai maintenant assez dit et j'espère vous donner l'envie de lire ce livre. Le style d' Yveline et remarquable: il est fidèle aux textes originaux, tout en étant facile d'accès. Chaque chapitre reçoit des notes précises et un petit avant-propos qui explique le contexte dans lequel le conte a été écrit. A la fin du livre sont suggérés plusieurs ouvrages si vous voulez approfondir votre connaissance sur la culture japonaise! Je ne manquerai pas d'y piquer quelques titres de livres! Si vous êtes un otaku ou juste intrigué par ce pays, je vous recommande la lecture de ce livre.

     

    Ma note 16/20

     

    A lire Si Vous Aimez:

     -Le japon

    -Les mythes et contes

    -Les histoires de fantômes.

     

     

    Bien à Vous

      Murmure Du feu ❦

     


    votre commentaire
  • Afficher l'image d'origine

    Résumé:À l'origine, un manuscrit fabuleux rédigé six cents ans avant J.-C. et une prophétie : notre société va subir un grand bouleversement. Intrigué, le héros de cette histoire s'envole pour le Pérou à la recherche du mystérieux grimoire, objet de toutes les convoitises, qui va transformer sa vie. Commence alors une aventure magique et enchanteresse, une dangereuse initiation: une quête en neuf étapes qui le mène du sommet des Andes au cœur de la forêt amazonienne sur la voie des révélations de la vie. Quand, au terme de son périple, le héros découvre le vrai sens de son existence, c'est notre propre quête qui débute. Pour James Redfield, si nous restons attentifs et savons percevoir le grand mystère de l'existence, nous nous apercevrons que nous avons été judicieusement placés, à l'endroit adéquat... pour changer quelque chose en ce monde

     

    La prophétie des Andes, était sur la devanture de nombreuses librairies. Vendu à plusieurs million d'exemplaires, j'achetais cet ouvrage à succès. J'eus du mal à le lire, notamment par manque de temps avec la rentrée mais aussi par manque d'engouement. L'histoire était classique: Un jeune homme vit tranquillement jusqu'au jour ou une personne du passé resurgit . Là on lui apprend l'existence d'un grand mystère auquel notre héros ne peut résister. Ainsi débute une longue aventure semée d’embûche...

     

     Ce qui fait finalement l’originalité de ce roman, c'est qu'il cache en réalité: une initiation à la philosophie. C'est d'ailleurs grâce à cela que j'ai réussi à achever ce livre. Je comprend le point de vue de James Redflied, à travers son œuvre, il cherche à nous transmettre un message, qui aurait touché peut-être moins de personne si l'aspect aventurier n'avait pas été présent. Finalement on peut féliciter l'auteur d'avoir su apporter un peu de philosophie au grand public. Il ne s'agit bien évidemment pas de grande Philosophie mais néanmoins cela permet aux lecteurs de voir différemment cette discipline et d'apercevoir comment chaque jour cette dernière est présente dans nos vies. Ce que j'aime également c'est le côté oriental de l’œuvre, j'ai pu à travers l'ouvrage redécouvrir des concepts qui ont bercés mon enfance et qui me rappelle la sagesse Bouddhiste.

     

    12/20

     

     A lire Si Vous aimez:

     

     -Les aventures

     -Les mystères de la vie.

     -La Philosophie

     

     

     

    Bien à Vous

     

    Murmure Du feu ❦

     

     

     

     

     

     


    2 commentaires
  •  

     

     

     

     

     

    Acide Sulfurique

     

     

     

    «Vint le moment où la souffrance des autres ne leur suffit plus : il leur en fallut le spectacle». Seul phrase que nous dévoile l'auteur dans sa quatrième de couverture. Intrigué c'est donc par ce livre d'Amélie Nothomb que je décidais de poursuivre mes lectures d'été, mettant un peu de coté ma liste que je vous avez donnée. Le souffle coupé je découvrais peu à peu cette histoire aussi terrifiante que proche du réel. Un matin sans un bruit, de nombreuses personnes se retrouvent capturées et emmenées dans un camps. Là commence leur souffrance. Ce camps est en réalité une nouvelle émission de télévision nommé «Concentration» qui a pour but de martyriser les hommes et femmes prisonniers à la manière des Nazis durant la seconde guerre mondiale.

     

    Histoire qui choque dès les premières lignes, imaginez-vous du jour au lendemain enfermé dans un lieu durant un an où vous savez que la mort vous attend. De plus, le fait que cela soit fait pour de la téléréalité rend le scénario horrible. Cela nous montre de manière sordide le reflet de notre société. Vous aimez peut être regarder secret story ou encore des jeux dans lequel on tourne des personnes au ridicule? Finalement ce plaisir pervers poussé à l’extrême pourrait-il pas faire un jour naitre ce genre de télé réalité dont il est question dans ce livre? D'abord il s'agirait de gens qui se font peur, ou encore torturés durant quelques heures, puis cela s’empirerait jusqu'à des émission telles que celle ci. Cette nouvelle émission au concept barbare n'existe d'ailleurs que dans un but, savoir jusqu'où pourrais monter l'audience, jusqu'où les gens regarderont la misère des malheureux prisonniers, comment le monde réagira dans cette tragédie? Et c'est bien là le désastre c'est que personne ne se rebelle, tous se contentent de regarder, sans réagir, parfois meme avec complaisance. Tous tel des moutons succombent peu à peu à se vice qu'est de voir les gens souffrir comme si cela donnait un but à leurs existences «vides». Le livre permet une réelle remise en question de soit face à l'effet de masse: Aurais-je succombé est visionner ce show? Jusqu'où j'aurais pu aller? Aurais-je pu être un bourreau?
    Également dans ce roman nous voyons évoluer les Kapos, des personnes au chômage à qui on propose le poste de bourreau. Ce sont eux qui devront châtier les prisonniers et décider qui devra vivre ou non. Parmi eux nous rencontrons le personnage de Zdena et nous suivrons son évolution en même temps que notre héroïne CKZ114.

     

    Bon , malgrés que je sois frappée par le concept de ce livre j'aimerais maintenant formuler ce qui m'a déplu. Pour cela je dois vous dévoiler la fin du livre ainsi pour ce qui souhaite continuer la lecture lisez la partie entre les balises [Spoil] sinon veuillez vous reporter à la fin de cette balise

     

     

     

    [Spoil] La fin m'a beaucoup déplue. Il s'agit d'un happy ending ne collant absolument pas à la situation. Pour ceux qui n'auraient pas lu le livre je vous explique : CKZ114 demande au public de voter pour elle, afin de l'envoyer à la mort. Zdena qui entre temps c'est nouée d'une véritable passion et fascination pour elle tente de la sauver en prétextant avoir crée une bombe via de l'acide sulfurique. Là sa ne colle pas, directement l'état envoit ses soldats pour délivrer les prisonniers et arrêter l'émission ! Ce qui est incohérent, l'état était d'accord sur le concept de base qui est de tuer les prisonniers petit à petit sur une période d'un an à la manière des nazis donc à partir du moment ou il n'accordent par d'importance à la vie de ces gens, vous ne pouvez croire que c'est une menace de tout faire exploser qui fait qu'il se réveillent et arrêtent l'émission! C'est prendre le lecteur pour un imbécile. Si ça ne les gêne pas d'envoyer des innocents à la mort, ca ne devrais pas les gêner de voir ces gens exploser puisque dans tout les cas ils allaient mourir! C'est vraiment la faiblesse de ne pas pouvoir tuer ses personnages. Enfin bon c'est son parti prit. [Spoil]

     

     

     

    Pour finir je recommande tout de même ce livre, mais soyez avertis il n'est pas des plus aisé à lire, je le décommande aux personnes sensible car les conditions de vie des prisonniers rappelant les pires heures de notre histoire.

     

     

     

    Citation: «Si tu parles, tu meurs, si tu ne parles pas tu meurs. Alors parle et meurs.»

     

     

     

    Note 13/20

     


    votre commentaire
  •  

     

     

    Résumé

    Pour un écrivain, il n'y a pas de plus grande tentation que d'écrire la biographie de son assassin.
    Robert des noms propres : un titre de dictionnaire pour évoquer tous les noms qu'aura dits ma meurtrière avant de prononcer ma sentence. C'est la vie de celle qui me donne la mort.

    Amélie Nothomb, écrivaine de roman contemporain au style très étrange est de loin mon auteur préférée. Je ne sais pas par où commencer tellement ce livre m'a transportée surtout qu'avec Amélie Nothomb on ne peut trop en dire, car cela pourrait détruire toute l'intrigue, c'est une expérience qui se vit, et se raconte difficilement sans donner de détail. Ainsi je me baserai plus sur une analyse générale de ce roman que sur les éléments narratifs de ce dernier.

     

    Dans ce roman, on suit la vie de Plectrude une fille qui, comme son nom, est hors du commun. Orpheline elle est recueillie par sa tante après le suicide de sa mère. Nous allons suivre alors la vie de ce personnage qui dès les premiers instants s’installe dans un univers noir. Dès le début, l'intrigue m'a subjuguée et je ne pouvais déjà plus lâcher ce livre.

     

    Amélie Nothomb est une personne qui dans son écriture arrive à nous présenter la nature humaine dans toute sa splendeur, alors que les personnages se trouvent dans des situations des plus macabres. C'est un aspect que je trouve très intéressant à développer car il est rare d'aborder la beauté dans toutes ces situations d'horreur. Ce que je constate à travers de nombreuses lectures de cette auteur, c'est que le beau et le vrai ne semblent se révéler pour Amélie Nothomb, que dans les instants les plus sombres de notre existence. Dans ce livre, Plectrude intègre l'école des petits rats, école qui lui enseigne ce qu'est la beauté la grâce et la joie de danser. Une expérience qui devrait être positive mais qui va se révéler d'une toute autre nature. Le sacrifice le dévouement de son corps et de son âme vont devenir son quotidien.

     

    Les mots sont très importants pour Amélie Nothomb, on le voit dans chacuns de ses livres. Le titre est déjà représentatif de son style : un nom qui se réfère au dictionnaire. L'héroïne qui se noue en premier d'une passion, d'une étude profonde et minutieuse dès les premiers mots qu'elle prononce, comme si chaque mots devaient être le résultat d'une prise de conscience absolue. Là encore je suis fascinée, les mots sont un véritable art auquel nous devons être très attentif et Amélie dans son livre nous le fait comprendre à travers Plectrude.

     

    Pour ce qui est de l'histoire, c'est toujours quelque choses de farfelue : une héroïne au passé hors du commun et à l'avenir incertain. Une mère adoptive du nom de Clémence qui semble également devenir aussi folle de sa petite sœur Lucette. J'adore voir évoluer le personnage qui par son caractère hors normes se sent complètement dans un monde à part que celui de ses camarades de classe par exemple... J'aime beaucoup la chute du livre bien que j'aurais préféré qu'elle se termine par un tour complet de la boucle (je n'en dirais pas plus)

     

    Pour conclure je dirais qu'on remarque les caractéristiques qui font d'Amélie Nothomb une écrivaine de l'étrange, des univers difformes, des intrigues hors du commun, un vocabulaire sélectionné minutieusement et l'homme représenté sous toutes ses formes. Je me vois dans l'obligation de ne rien vous révéler de plus car je pense que ceci nuirais à votre plaisir de découvrir ce livre. Tous ce que je peux vous dire c'est Amélie Nothomb est une auteur qui se ressent et non se raconte. Je vous recommande donc fortement ce livre.

     

    Citation: «Comme quoi, il n'est qu'une clef pour accéder au savoir, et c'est le désir»

     

    A lire si vous aimez

    • La danse

    • Les histoires sombre

    • Amélie Nothomb


      Note 17/20

     


    votre commentaire
  • Et L’Égypte s'éveilla

    Et L'égypte s'éveilla
    Tome 1 : La Guerre des clans
    Auteur: Christian Jacq 
    Genre: Aventure/Historique 
    Edition: Pocket 


    Mon Résumé: 

    Narmer vit des jours paisibles au sein du clan coquillage. Un jour la colère des dieux s'abat violemment sur ce dernier et le lendemain le clan est exterminé par un ennemi inconnu. Narmer seul est le dernier survivant de ce massacre,qui a échappé aux griffes des envahisseurs grâce à une petite voyante qui est aussi sauvagement assassinée. Narmer jure sur la tombe de l'enfant de retrouver celui qui l'a tuée et de le châtier, mais pour cela Narmer doit pénétrer dans un monde auquel il ne connait rien, sans se douter que l'extermination de son clan a fait remonter les tensions entre les clans qui peuplent l'Egypte. Déterminé à faire éclater la vérité, un obstacle se dresse déjà devant lui: la vallée des Entraves dont aucun humain n'est sorti vivant.

    Mon Avis:

    J'ai obtenu ce roman, durant une promotion des éditions Pocket: pour deux livres achetés le troisième gratuit...Autant vous dire que si il n'avait pas fait partie de cette offre je ne l'aurai peut être jamais lu... Et cela aurait été bien dommage!

    En effet je découvre un auteur formidable qui m'a fait voyager au plus fin fond de l'Egypte Antique. L'an zéro, période où l’Égypte était divisée en clans, tous rattachés à des animaux (ou presque). Nous avons le clan Taureau qui domine principalement la partie Nord du Pays. Le clan Lion qui lui dirige principalement le Sud. Le clan Chacal qui détient une terre sacrée Abydos, et bien d'autres encore!
    Ce qui m'a beaucoup plu c'est l'ingéniosité de Christian Jacq: Chaque chef des clans a pour nom, le nom même du clan qu'il dirige.Ainsi Éléphante est la chef du clan Éléphant, Gazelle chef du clan Gazelle... Il y a également une proximité entre les animaux et les clans si bien qu'on ne sait pas vraiment si ces personnages sont en réalité des anthropomorphes qui tantôt on une forme humaine tantôt une forme animale (qui est celle de leur clan cela va sans dire) ou tout simplement des personnes qui sont juste proche de leur totem par leurs attitudes! C'est ici qu'on retrouve le génie de l'auteur, par des choix très précis des mots et des formulations il arrive à nous laisser la possibilité de choisir comment on désire voir les personnages, comme des humains qui possèdent des animaux domestiqués, des humains qui on développé les capacités de leur totem, ce qui explique pourquoi le clan cigogne vole... Des métamorphe ou encore même comme des êtres thérianthropes c'est à dire mi-humain, mi-animaux (rappelant les représentations des dieux égyptiens). 

    Au niveau des personnages ils sont plutôt classiques, Narmer est le héros typique qui devient l'élu qui dois sauver l’Égypte qui tombe amoureux de la plus belle femme du monde Neit la prêtresse du temple Neit. Il a à ses côtés Scorpion, qui est beau et fort, un parfait soldat mais peut-être un peu trop avide de pouvoir... Passé ce côté là,l'histoire est géniale, de nombreux rebondissement nous attendent ainsi qu' un côté mystique très présent  et une éternelle question: qui a éradiqué le clan Coquillage!? 

    Pour conclure une très belle découverte, La guerre des clans est un premier tome très prometteur, frais, original et captivant.

    Ma note: 17/20

    A lire si vous aimez:

    -L'Egypte antique
    -Les enjeux politco-militaire
    -Les êtres mystiques

     

     

     

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique